dimanche 7 février 2016

Il était une fois : le Qatar

A l'aller comme au retour, avec Qatar Airways, nous faisons escale à Doha, capitale de l'état du Qatar.

Le Qatar est un petit territoire rattaché à l'Arabie Saoudite et indépendant depuis les années 80. 
C'est le pays ayant le Pib par habitant le plus élevé au monde : merci au gaz (3eme producteur mondial) et au pétrole. 
Il faut dire qu'il n'y a que 2 millions de qatariens (les ressortissants philippins, sri lankais... ne peuvent avoir la nationalité qatarienne, juste bon à être exploité). 
Au Qatar, la proportion est de 3 hommes pour 1 femme. Celles ci sont voilées (voile noir) lorsqu'elles peuvent paraître en public alors que ces messieurs sont en blanc. 
Liberté d'expression étroitement contrôlée au Qatar par la famille au pouvoir, pays soupçonné d'aider des groupes terroristes (Daesch...). 

Le bon plan est de participer à un "Doha Tour" organisé par Qatar Airways : 3h de visite de la capitale du Qatar (largement suffisant car la ville n'est pas touristique contrairement à Dubaï) sans payer le visa (55$). 
Il suffit de prévoir une durée d'escale suffisante et de s'inscrire au guichet de l'aéroport. 

L'aéroport est proche du centre de Doha dont le centre ville est constitué  de rues perpendiculaires comme les villes nouvelles américaines.
Intéressant de voir une ville qui se construit : le plus ancien immeuble date de 1981...
Les buildings ont des formes innovantes : il y a de la recherche architecturale. 
Le musée de l'art islamique, très belle réalisation de l'architecte Pei (créateur de la pyramide du Louvre).
Le musée national, création de Jean Nouvel, en construction.
Au petit matin, la brume enveloppe encore les buildings...
Vue dégagée en milieu de matinée.
Abondance de tours aux tailles et formes variées. 
Travaux ininterrompus. 
Des hôtels gigantesques : Marriott, Intercontinental, Saint Régis...
La tour Tornado.
La tour Doha de Jean Nouvel.
Son enveloppe fait penser à l'IMA de Paris. 
Qatar beach, sans vagues.
Un bel amphithéâtre au bord de la mer.
Jusqu'à 5000 spectateurs pour des spectacles musicaux de plein air. 
Dommage que l'aéroport soit si proche (les avions y décollent en permanence). 
Une ligne de métro en construction : 180 km de ligne à terme.
La White House : le lieu du pouvoir.
Le souk, tout beau tout neuf!
Belles lampes égyptiennes hors de prix : le niveau des prix au Qatar est similaire à la France.
Balade dans le quartier des restaurants et échoppes.
Quartier bien surveillé (combien de caméras sur la photo? 4!)...
... et éclairé.
Belle mosquée.
Panneaux vus qu'au Qatar.
Belle autoroute toute neuve vers l'aéroport ...
... bordée de plantations arrosées par l'eau douce de l'usine de dessalement.
Et pour finir, l'aéroport privé de l'émir.

Le régime qatarien est critiquable. 
Cette visite offerte par Qatar Airways nous a permis de nous faire une idée librement du développement de ce pays et notamment de Doha, ville nouvelle dans le désert

THE END

samedi 6 février 2016

Dernière journée en Thaïlande : Bangkok

Avant de rentrer à Paris, visite de quelques lieux emblématiques de Bangkok pour Astrid après avoir laissé nos sacs à la consigne de la gare centrale. 


Le Wat Traimit, temple situé dans le Chinatown et abritant...
... un bouddha en or massif de 5,5 tonnes.
Un peu trop clinquant à mon goût. 

Dans une partie de l'immense Chinatown, les vendeurs de pièces détachées mécaniques sont regroupés par catégories de pièces. 
Broyage de pains de glace pour l'apéro. 

Le Wat Phot, le temple à voir à Bangkok. 
Un temple sousdimensionné abrite un gigantesque Bouddha couché de 50m de long. 
Il fait chaud cet après-midi là à Bangkok : 35 degrés. 

Le Musée National de Thaïlande, poussiéreux (et sans clim !) abrite des objets intéressants comme ce char royal. 
Aucune mise en perspective historique dans ce musée, dommage. 
Char utilisé pour le transport de l'urne funéraire royale. 

Bangkok est complètement paralysée par le trafic automobile le matin et le soir dès 16h (et jusqu'à tard en soirée). 
En quelques années, plus de véhicules en circulation et infrastructures routières inchangées (notamment au centre historique) = bouchons interminables. 
Les conducteurs restent zen (pas de klaxons, ni d'énervement). 

Nous garderons souvenir d'une course de taxi interminable en voulant relier le quartier historique au quartier des magasins. 

Nous quittons Bangkok à 1h du matin après un dernier dîner : un Pad Thaï à base de noodles à la crevette.